La première édition du forum prendra la forme de cinq (05) panels modérés avec un animateur en présence de personnalités.
Chaque panel sera suivi d’une discussion ouverte à tous les participants.
Les cinq panels aborderont les thèmes suivants :
Les inégalités et la pauvreté alimentent les tensions sociales et ne feront qu’empirer face à une croissance démographique sans précédent. Ainsi que les inégalités économiques et sociales qui devront être abordées et résolues politiquement.
La séparation des pouvoirs est fragilisée dans de nombreux États africains : l’absence d’une indépendance avérée de la justice impacte la crédibilité des institutions et les suspicions sur la gestion du bien public.
Le terrorisme et les conflits armés affaiblissent les institutions de l’État et compromettent la sécurité publique. Les pays en transition politique sont directement touchés car ils s’efforcent de lutter contre le terrorisme et de gérer l’instabilité, cela affecte le processus des réformes. La réponse aux conflits et à la violence s’articule autour de trois dimensions : la lutte contre le terrorisme, la gouvernance et le développement.
La Démocratie repose essentiellement sur deux piliers fondamentaux : le libre choix des gouvernants et le respect des droits, des libertés et du pluralisme politique. La fonction principale des décideurs politiques, élus et choisis par le peuple, est d’assurer le respect des valeurs telles que l’égalité, la tolérance, de permettre un accès facile aux besoins essentiels des citoyens
Comment s’assurer que les gouvernements agissent pour assurer la justice sociale, des valeurs telles que l’égalité et la tolérance, en donnant accès aux besoins essentiels et en agissant comme garant des droits fondamentaux ?
La CEDEAO et la CEEAC ont certainement contribué à assurer la stabilité politique et sociale dans la sous-région, qui s’est renforcée au fil des années. Cependant, ils n’ont pas été en mesure d’anticiper et de gérer correctement les crises politiques dans la région du Sahel.
L’Union africaine est submergée par des difficultés opérationnelles et les prises de décision sont souvent en décalage avec la dynamique du continent. Les disparités entre États membres affectent l’institution panafricaine.
Penser à des solutions africaines pour l’Afrique ouvre à des espaces de réflexions innovants d’ordre économique tels qu’harmonisation du marché intérieur, investissements dans la recherche et le développement, une politique agricole africaine, un réel contrôle des ressources minières.